La politique de pillage imposée par les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN au Moyen-Orient est entrée en crise. Et cette crise est due, forcément, à la hausse des cours des céréales dont les retombées ont été plus fortes dans les pays arabes où la rareté de l’eau, les zones désertiques et la pauvreté du peuple généralisée contrastent avec les revenus très élevés des secteurs privilégiés liés aux énormes ressources pétrolières.
Je l’ai entendu hier rendre hommage, à l’Université de Tucson, aux six personnes assassinées et aux quatorze blessées en Arizona, en particulier à la représentante démocrate de cet État, grièvement blessée d’une balle dans la tête.