Ce matin-là, le 17 octobre 1896, tout semblait aller sans heurts pour le groupe d’artillerie qui assiégeait le village de Guáimaro dans le cadre des actions militaires menées par le général Calixto Garcia Íñiguez pour prendre la ville, bien fortifiée pour empêcher l’avancée des troupes mambis.
De nos jours, nos juges révolutionnaires sont au centre de la cible de l’arbalète impériale. De nombreux "inquiets" à l’intérieur et à l’extérieur de l’île expriment leur désaccord sur les condamnations des "manifestants pacifiques" du tristement célèbre 11 juillet 2021, alors qu’en réalité, nous savons tous que les auteurs d’actes terroristes ont pris le dessus sur les institutions de l’État et la tranquillité des citoyens.
Elle était si sage que, durant sa vie, on n’a jamais su la date de sa naissance ni les festivités autour de ce jour-là. Aujourd’hui, les Cubaines et les Cubains homenajean en toute simplicité à l’héroïne inoubliable de la Sierra et de la plaine tous les sept avril, lorsqu’elle fête une année de plus à elle seule, malgré son départ le 18 juin 2007.
Ce 4 avril ne sera pas comme les années précédentes. À un peu plus de 24 mois de l’affrontement avec la COVID-19, s’il faut peser une partie de la population de la plus grande des Antilles, il faut exalter avec probité les rejetons cubains.
Entre les lettres et l’imagination, il y a une magie spéciale. La complicité qui s’établit entre le livre et le lecteur est comme des amants éternels : ils ont besoin de se sentir, de se sentir, de se toucher, peu importe le temps ou l’espace, ils se tiennent, se cherchent, se complètent.
Quand les guerres éclatent, quand les frontières rappellent les distances, quand la douleur et la misère s’emparent de quelques terres, après que femmes, hommes, enfants, tous souffrent, nous souffrons de ses dommages, il y a toujours un baume conciliateur qui vient pour rester au-delà des limites de l’espace et du temps, qui pacifie et nous rappelle à quel point nous sommes égaux, aussi égaux qu’humains : l’art.
Bien que le chemin à parcourir soit long et que les défis soient nombreux, la médecine vétérinaire à Cuba transforme son travail en vue d’améliorer son activité d’assistance, dans des conditions difficiles imposées par la situation épidémiologique provoquée par la COVID 19 et les préjudices économiques auxquels l’île est confrontée, perfectionne son système de santé animale.
Les attaques info-communicationnelles atteignent aujourd’hui des niveaux scandaleux. Les institutions médiatiques oligarchiques, vouées à la colonisation des idéaux esthétiques, des pensées et de la crédulité de l’humanité, dessinent leurs machinations subversives pour faire du globe terrestre un village, où l’hégémonisme sensoriel s’impose pour asservir la perception de l’environnement.
C’est effrayant quand on a découvert ce jeune homme perché sur la vague aérienne. Trouvons-nous : Théâtre Principal, Cirque Areíto, début de la pièce "3, 2, 1... Décollage !" Depuis le premier numéro, la société a volé au-dessus des attentes, et cela peut être aussi dangereux que de marcher sur une lame tranchante.
Se lever et allumer la radio reste l’habitude de quelques-uns, l’écouter pour laver, nettoyer, adoucir les pots de ménage, même ceux qui dorment avec son bruit de fond ne manquent pas.
La vie lui a joué un mauvais tour en perdant sa femme, mais Yasiel Michel Fraga Ruiz n’a pas été abandonné, le père de quatre enfants qui a récemment reçu un logement confortable dans un bâtiment construit dans la rue Horca, dans cette ville.
Comment faire de l'endroit où nous vivons un espace où créer, déployer des initiatives et demander à chaque fois de nouvelles incitations ?