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Cuba, Union africaine, blocus

L'Union africaine a adopté à nouveau une résolution contre le blocus de Cuba


Union africaine, 18 février - Lors de la 38e Période de sessions ordinaires de la Conférence de l'Union africaine (UA), les chefs d'État et de gouvernement ont adopté une résolution condamnant – pour la 16e fois consécutive – le blocus économique, commercial et financier imposé par les États-Unis à Cuba, une politique cruelle qui nuit au peuple de l'Île depuis plus de six décennies.

Le texte comprend également, pour la deuxième fois, la demande de retirer Cuba de la liste unilatérale arbitraire des pays qui soutiennent prétendument le terrorisme.

En outre, il exprime sa profonde inquiétude quant à l'extension de la nature extraterritoriale du blocus, y compris l'application du Titre III de la Loi Helms Burton.

Il reconnaît l'impact négatif de telles mesures, encore plus cruel dans le contexte actuel, alors que l'archipel est confronté aux effets économiques et sociaux de plusieurs phénomènes naturels graves qui ont frappé le pays.

L’action de ce bloc de pays, au nom du « Continent Mère », est une démonstration incontestable des liens étroits et fraternels qui existent entre les peuples d'Afrique et de Cuba, ainsi que de la solidarité et de l'engagement des peuples africains en faveur de l'élimination de la politique injuste et illégale des États-Unis.

La revendication traditionnelle de l'Union africaine est d'une grande valeur dans le contexte actuel de traque que subit Cuba. En effet, les différentes administrations étasuniennes ont appliqué une politique de pression maximale ces dernières années, qui a repris avec le retour au pouvoir de Donald Trump.

Le président étasunien, dans une démonstration claire de l'agressivité de l'impérialisme contre la souveraineté, la paix et le bien-être de la population cubaine, a décidé de rétablir les dures mesures de guerre économique que son prédécesseur avait éliminées quelques jours avant son départ de la présidence.

C’est pourquoi, la résolution adoptée lors du 38e Sommet renforce l'appel de la communauté internationale à mettre fin à cette politique unilatérale, qui viole les principes du droit international et les droits humain du peuple cubain. (Texte et photo: Granma)


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