Radio Cadena Agramonte emisiora de Camagüey
La Havane, 21 novembre - Les pays du groupe des BRICS analysent aujourd’hui de manière extraordinaire l'escalade de la violence dans le conflit israélo-palestinien.
Selon un communiqué publié par le président en exercice du groupe, le président sud-africain Cyril Ramaphosa, en plus des présidents du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud, la présidence a invité les chefs d’État ou de gouvernement de l’Arabie saoudite, de l'Argentine, de l'Égypte, de l'Éthiopie, de l'Iran et des Émirats arabes unis, dont l'incorporation aux BRICS a été définie lors du dernier 15e sommet.
La participation du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, est également attendue au sommet qui doit adopter une déclaration commune faisant référence à Gaza.
Jusqu'à présent, rappelle le document, "quelque 1 200 personnes en Israël et 11 000 autres à Gaza ont trouvé la mort depuis le début du conflit le 7 octobre".
Lundi Cyril Ramaphosa a réaffirmé la position de l'Afrique du Sud sur le conflit. Ainsi, "en tant que gouvernement et en tant que peuple (sud-africain), nous restons fermes dans notre appel à la justice pour le peuple palestinien opprimé".
Nous prônons également, a-t-il réitéré, la réalisation de leurs droits et de leurs aspirations, la cessation immédiate des hostilités et l'obligation de rendre des comptes pour les assassinats déplorables de civils survenus lors de ce récent conflit.
Nous maintenons, a souligné le président sud-africain, que "la paix (au Moyen-Orient) ne sera pas possible tant que les Palestiniens ne seront pas libres". (Texte et photo: RHC)
