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Égypte, sommet international, guerre, bande de Gaza, paix, Moyen-Orient

L’Égypte accueillera un sommet international sur Gaza


Le Caire, 13 octobre - L’Égypte organisera un sommet international visant à mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza et à renforcer les efforts pour atteindre la paix et la stabilité au Moyen-Orient.

Selon un communiqué officiel, la réunion se tiendra dans la station balnéaire de Sharm El-Sheikh, située dans la péninsule du Sinaï au nord-est, et sera co-présidée par le président égyptien, Abdel Fattah El-Sisi, et le président américain, Donald Trump.

Une vingtaine de dirigeants mondiaux participeront à cet événement, y compris le président français Emmanuel Macron, le chef du gouvernement espagnol Pedro Sánchez, et la Première ministre italienne Giorgia Meloni.

Vendredi, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, et le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, ont discuté des préparatifs du sommet, y compris de la mise en œuvre de la première phase d’un accord pour mettre fin au conflit.

La semaine dernière, lors de négociations indirectes dans la même ville, Israël et le Mouvement de Résistance Islamique (Hamas) ont accepté d’initier un échange de prisonniers dans le cadre d’une première étape de cessez-le-feu, conduisant à la cessation des hostilités.

Dans le cadre de ces engagements, l’armée israélienne a commencé un retrait partiel de Gaza, tandis que les agences de l’ONU et diverses organisations non gouvernementales se préparent à une entrée massive d’aide dans cette enclave côtière, où plus de 67 000 morts ont été rapportés en deux ans.

Lors d’une seconde phase des discussions, des sujets complexes tels que la gouvernance du territoire et l’armement de Hamas seront abordés, alors que les dirigeants de ce mouvement ont refusé de le remettre.

Les groupes palestiniens présents dans la bande réclament un gouvernement national technocrate sans tutelle étrangère, mais le plan de Trump prévoit que l’équipe soit supervisée par un « Conseil de la paix » dirigé par le président et comprenant l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair.

Cet organisme gérerait la bande jusqu’à ce que « l’Autorité Nationale Palestinienne ait terminé son programme de réformes », selon le projet.

Cette initiative a suscité de vives critiques de la part des Palestiniens, en particulier concernant la nomination de Blair, considéré comme un défenseur d’Israël. (Source: Prensa Latina)


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