Par Dania Díaz Socarrás / Radio Cadena Agramonte.
Aujourd'hui, jour de la Rébellion ; aujourd'hui, jour des rebelles et des nobles causes ; Aujourd'hui, jour des conquêtes promises et accomplies, les vérités de la Patrie sont un devoir.
Avant, alors qu'aujourd'hui était dimanche et que les calendriers discutaient de la fin ou du début des semaines de Dieu et des hommes, ces rebelles de nom, d'action et de conviction ont commencé une nouvelle semaine, une nouvelle ère.
Ils sont partis entre vers et stratégies, entre peurs logiques et courage supérieur, connaissant leurs objectifs.
Ils partirent et de la non-voix des enfants assoiffés, malades et ignorants, camouflés par l'odeur bruyante des automobiles et des casinos, des répétitions du grand monde des capitales au prix silencieux des expériences, ils comprirent que leur devoir était là et ils l'a supposé.
Ils l'ont assumée entre collines, plaine et ville, d'abord entre balles, puis entre buts et exigences constants, toujours, toujours entre rêves et projets, entre espoirs, améliorations et hommes nouveaux.
Les semaines, après avoir senti la prison et avoir été fécondées par des idées, par un programme nécessaire, ont vu naître un autre morceau d'histoire, ont vu la patrie se défendre avec la voix de Fidel Castro, avec la lumière fondatrice de José Martí et de ceux qui l'a précédé.
Puis un pays s'est réveillé, le pays qui a donné des terres et des maisons, des études, des universités, des écoles d'art et de sport, le pays des enfants vaccinés, des nouveaux prêtres et des hôpitaux pour lesquels ils n'avaient été qu'un autre élément de chaque expérience, en répétant ici. ce qui irait sans faute au stade des grandes avenues qui ne seraient jamais les nôtres.
Maintenant, alors qu'aujourd'hui nous sommes lundi, nous continuons la semaine qu'ils ont commencée, l'ère de la rébellion avec une noble cause, de la Révolution pour la Patrie et pas à ce sujet, d'autel et non de piédestal, pour justifier et ne pas offenser, pour contribuer sans endommager, construire sans détruire ce qui a été fait avec tant d'efforts antérieurs, avec tant d'yeux arrachés, les mains coupées, avec des vies que nous n'oublierons jamais.
Aujourd'hui, lundi, c'est à nouveau le 26 juillet et nous célébrons la rébellion qui doit rester parmi nous, celle de la refondation et du renforcement, celle de l'opposition à ce qui a été mal fait, le signal opportun, la critique suivie de l'action précise, le oiseau avec la cage comme beaucoup s'en souviennent ces jours-ci, à notre manière cubaine.
Aujourd'hui, le jour de la rébellion de la nation, de notre rébellion, celle des majorités, les vérités de la Patrie en construction permanente sont à nouveau entassées, pour ce qu'il en coûte de maintenir la liberté, car selon le poète de cette génération qui encore Elle nous guide, la voir dans l'étoile solitaire c'est un honneur de se battre et nous devons aussi avoir de tels honneurs.
Aujourd'hui encore, plus que tout autre jour, le sang qui, par chance et effort collectif, ne coule plus, bat en nous pour ce cœur géant que nous devons remettre à Cuba, pour toutes les semaines à venir, au nom de notre identité et De la patrie. (Photo : Internet)