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Cuba, José Martí

José Martí, l'expression la plus marquante de son temps


Par Gelsy Rodríguez Rivero / Radio Cadena Agramonte

Aile et racine étaient, selon le journaliste Jorge Mañach, les mots préférés de Martí. Du berceau à la tombe, les ailes de son ingéniosité et de son amour patriotique ont donné libre cours aux idées qui ont été semées de la Calle Paula à Santa Ifigenia pour renaître inlassablement non seulement à Cuba mais dans toute l'Amérique latine.

Le contenu sémantique des deux, leur contraste apparent, renferment l'esprit central du créateur, qui a su être l'aile et la racine de sa patrie et de son histoire.

Universel et tellement nôtre, grand et tellement quotidien, élevé et tellement terrestre, idéal et tellement concret ; Martí était l'expression la plus marquante de son temps et, en même temps, l'annonce précise et claire de la postérité.

C'est pourquoi nous sommes nombreux, et nous devrons être encore plus, ceux qui boivent le grand jus de Martí, car il est impossible d'embrasser ce métier de journaliste, si semblable à lui, sans approcher son exemple, sans l'entendre dire lui comment la bonne presse, sans admirer en lui la matérialisation de ses idéaux et inévitablement le suivre.

Il n'y a rien qui ne soit complètement ébranlé par les paroles de Martí, et en lui le journalisme cubain trouve un exécuteur distingué pour le travail et l'action, pour l'éthique et l'esthétique, pour les préceptes qu'avec son travail il a dictés aux générations futures , quel code impérissable de ce qui doit être un journalisme révolutionnaire et révolutionnaire, engagé et sincère.

Marti se lève aujourd'hui, journaliste, à notre grand étonnement, avec une validité donnée uniquement aux grands du syndicat. C'était par besoin de l'esprit, par instinct et vocation, en exerçant la liberté que lui laissait son talent.

C'était plus que pleinement, magistralement, uniformément et profondément, efficacement et de manière attrayante. Il nous a légué un univers travaillé, foisonnant, substantiel et palpitant où se reposer l'effervescence actuelle de notre métier, où se pencher sur ces heures de dépouillement et de doutes.

Martí est le collègue de référence là-bas, en proie au diarisme, quand l'urgence est pressante et que les idées s'agitent à la recherche de la soupape de sortie ; il semble avoir la juste mesure de chaque chose, le mot précis, le conseil attendu, et on sent comme sa main sur son épaule, comme sa voix dans son oreille, comme son doigt pointé, comme son léger rire approbateur... un le sent là, toujours proche, car le journalisme cubain lui doit d'être très martien, et ceux qui entreprennent le travail se doivent de le connaître et de l'honorer. (Photo : fichier)

 


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