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Radio Cadena Agramonte emisiora de Camagüey

Procès, émeutes, 11 juillet, Cuba

Procédure régulière, émeutes mercenaires du 11 juillet et autres éclaircissements pertinents


Par Jorge Enrique Fuentes Ruiz / Radio Cadena Agramonte.

De nos jours, nos juges révolutionnaires sont au centre de la cible de l’arbalète impériale. De nombreux "inquiets" à l’intérieur et à l’extérieur de l’île expriment leur désaccord sur les condamnations des "manifestants pacifiques" du tristement célèbre 11 juillet 2021, alors qu’en réalité, nous savons tous que les auteurs d’actes terroristes ont pris le dessus sur les institutions de l’État et la tranquillité des citoyens.          

Tout au long de l’île, les 11 et 12 juillet dernier, dans le contexte des révoltes mercenaires fomentées par des groupuscules contre-révolutionnaires, les actions déstabilisatrices ont débouché sur des jets de pierres dans des magasins, des personnes de droit commun, des combattants du Ministère de l’intérieur, ainsi que des vols à main armée à l’encontre de diverses entités et des attaques contre des patrouilles et des voitures privées.  

Et pour parler des arguments sur la base des preuves qui témoignent de ce qui précède, nous pouvons citer un exemple parmi tant d’autres, le travail journalistique de la correspondante du quotidien Juventud Rebelde à Camagüey, Yahily Hernández Porto, en date du 16 juillet 2021, Intitulé La plaine agramontina ne sera jamais des vers, où les sœurs Yanelda et Marcia Rodriguez Caballero racontent comment elles ont été battues pour défendre la Révolution à cette époque.

Face à ce tableau, nos organes de justice socialiste ont fait sentir la volonté majoritaire du peuple de condamner, à juste titre et équitablement, les criminels. Déjà, les médias officiels rendent compte des résultats des procédures judiciaires, ainsi que des sanctions correspondantes, qui ont été appliquées dans le strict respect de la loi et avec toutes les garanties constitutionnelles, avec une approche préventive, prophylactique et éducatif.       

Le site numérique Cubadebate, dans son article Avocats cubains ont respecté les garanties des accusés pour les événements du 11 juillet, a déclaré que "L’Organisation Nationale des Cabinets Collectifs de Cuba a offert aux inculpés après les émeutes de juillet dernier une défense indépendante dépouillée de toute influence", a-t-il ajouté "que la transparence de l’activité juridique en question a permis à de nombreuses personnes impliquées d’être tirées de poursuites pénales contre elles".

Par conséquent, le droit à une procédure régulière, et il faut entendre ce terme juridique pour dire du célèbre juriste cubain Rudy Nelson Diaz Torres, comme "l’ensemble des garanties qui protègent le citoyen soumis à toute procédure lui assurant tout au long de celle-ci une bonne administration de la justice", a été pleinement respecté autour des inculpés du 11 juillet, et il n’y a pas de violation des droits de l’homme dans le domaine du raisonnement jurisprudentiel. 

Récemment, le camarade Rubén Remigio Ferro, président du Tribunal Suprême Populaire, a tenu une rencontre émouvante avec les nouvelles générations de juges dans la province sœur de Villa Clara. Là encore, l’engagement éternel du pouvoir judiciaire envers Fidel, Raúl, le Parti communiste de Cuba, la Révolution, la justice et le peuple a été patenté.

Il a en outre été souligné dans le débat susmentionné que, lorsqu’une décision judiciaire est rendue, c’est la sensibilité qui doit prévaloir, et toujours garder à l’esprit de l’éthique juridique, que la condamnation ne vise pas la personne elle-même, mais qui s’exécute contre l’abominable fait criminel. C’est pourquoi cet esprit d’humanité prime dans tout processus légal, dans le respect des garanties constitutionnelles, et c’est le cas depuis que les Mambises sont entrés à Santiago de Cuba en 1959.      

Dans cette analyse, il devient indispensable de redécouvrir une fois de plus l’émerveillement de la pensée juridico-philosophique du commandant en chef Fidel Castro Ruz.

Lors de sa visite au Venezuela le 4 février 1989, le chef historique de la Révolution a déclaré lors d’une conférence de presse à l’Hôtel Eurobuilding de Caracas que l’île était remise en question de son droit légitime de se défendre contre les agresseurs à l’intérieur et à l’extérieur de l’archipel, en répondant à une journaliste vénézuélienne, qui a évoqué la "violation des droits de l’homme à Cuba".     

Et comme toujours, avec ce verbe brillant et un large arsenal d’arguments, Fidel a exposé la vérité de la plus grande des Antilles devant la journaliste, révélant la véritable nature insidieuse des "préoccupations" du voisin du nord et de certains pays d’Amérique latine, à propos de ce que Cuba décidait en matière pénale et judiciaire à l’encontre des prisonniers politiques désignés par eux-mêmes.                     

À Cuba, l’activité judiciaire ne consiste pas simplement en une interprétation froide et une application monotone de la norme juridique, pour ainsi dire. 

À la différence d’autres parties du monde, le pouvoir judiciaire cubain va au-delà de la loi dans un esprit de prudence, d’intelligence et de bon sens, et analyse en détail ce qui se cache derrière chaque événement, l’approche instructive qui prévaut chez les personnes sanctionnées ou réinsérées indépendamment de la gravité des faits.  

Par conséquent, les justes condamnations des fauteurs de troubles du 11 juillet sont la preuve éclatante que Cuba réaffirme une fois de plus qu’elle est un modèle de pleine protection des droits de l’homme et qu’elle progressera chaque jour vers la perfection de son modèle d’administration de la justice, conforme aux exigences législatives de la contemporanéité, parce que la plus grande des Antilles est aussi une révolution juridique. (Photo : Archives)


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