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Venezuela, droits humains

Le Venezuela juge difficile la coopération avec le bureau des droits humains


La Havane, 4 juillet - Le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Yvan Gil, a jugé très difficile d’établir une quelconque coopération technique avec le bureau du Haut commissaire des Droits humains, tant que persistera sa position partiale en faveur de l’extrême droite.

Sur le réseau social X, le chef de la diplomatie vénézuélienne a assuré que ce secteur de l’opposition prétend continuer à priver les Vénézuéliens de leurs droits.

Il a dénoncé dans son message la manipulation du Conseil des Droits humains de l’ONU suite à l’insolente présence du fascisme vénézuélien dans cette instance.

Il a précisé que les représentants de ce secteur sont sous la protection d’un système biaisé qui agit en faveur de la campagne électorale de ceux qui ont brûlé vif des gens et promus des invasions au Venezuela.

Alexander Yañez, représentant du Venezuela auprès du Conseil des Droits humains, a qualifié le rapport présenté devant cette instance de pamphlet de propagande soigneusement rédigé pour encourager l’opposition fasciste.

Il a ajouté que le Venezuela ne reconnaît pas le rapport présenté par le Haut commissaire parce que son mandat obéit à une résolution rédigée par les Etats-Unis et leurs subordonnés dont la politique néfaste vise à provoquer un changement de régime. (Texte et photo: RHC)


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