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Une possible cité cachée découverte sous la plus petite pyramide de Gizeh


Une équipe de chercheurs italiens a annoncé la découverte présumée de puits et de chambres situés sous la pyramide de Micerin, la plus petite des trois grandes pyramides de Gizeh (Égypte), qui seraient partie intégrante d’une cité cachée.

En mars dernier, le même groupe avait pour la première fois signalé la présence de vastes structures souterraines sous la pyramide de Khéphren. On estime qu’il y aurait environ huit piliers entourés de structures en spirale, à environ 610 mètres de la surface du colossal monument égyptien.

Filippo Biondi, l’un des responsables de ces deux découvertes, a expliqué au Daily Mail que les données recueillies par le radar à pénétration terrestre indiquent qu’il y aurait une probabilité de 90 % que les pyramides de Micerin et de Khéphren partagent les mêmes piliers.

Si cette hypothèse venait à être confirmée, cela renforcerait la thèse des chercheurs italiens selon laquelle les pyramides de Gizeh reposeraient sur une mégastructure souterraine. Biondi a précisé qu’ils étudient actuellement la fonction de ces structures cachées, tout en révélant que leur fonctionnement pourrait impliquer des éléments naturels : air, eau, feu et terre.

Traditionnellement, les archéologues estiment que ces trois édifices du complexe de Gizeh ont environ 4 500 ans. Cependant, Biondi et son équipe avancent l’idée que ces piliers pourraient avoir été construits par une civilisation ancienne disparue il y a environ 38 000 ans. Ils suggèrent également que cette société aurait été anéantie par un cataclysme mondial, probablement causé par l’impact d’une comète, il y a environ 12 800 ans.

À ce jour, ces découvertes n’ont pas été vérifiées ni publiées dans des revues scientifiques, et les experts mettent en garde contre toute certitude, soulignant qu’il faut rester prudent. Le célèbre égyptologue Zahi Hawass a qualifié cette découverte récente de « folie », affirmant que le géoradar ne peut pas produire d’images à plusieurs milliers de mètres sous la nappe phréatique.

Lawrence Conyers, professeur à l’Université de Denver (États-Unis), a également confirmé les propos de Hawass. « Mon avis est que, tant que les auteurs n’inventent rien et que leurs méthodes fondamentales sont correctes, tous ceux qui s’intéressent au site devraient examiner leurs interprétations », a-t-il ajouté. (Texte et photo: RT)


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