Ce 4 avril ne sera pas comme les années précédentes. À un peu plus de 24 mois de l’affrontement avec la COVID-19, s’il faut peser une partie de la population de la plus grande des Antilles, il faut exalter avec probité les rejetons cubains.
L’Union des jeunes communistes (UJC), organisation politique d’avant-garde et de fête ces jours-ci, parce qu’elle est arrivée à son soixantième anniversaire, se forge dans la conception marxiste-léniniste, les idées et la pratique de la pensée de Maceo, Marti, Camilo, Che et Fidel.
Ainsi, depuis sa constitution, le 4 avril 1962, il impulse le paradigme des nouvelles générations enracinées dans l’idéal de l’homme nouveau, et en tant qu’entité capable de transformer révolutionnairement son environnement.
Les nouveaux pins sont les héritiers incontestés de l’héritage Mambí, ils ont dit oui aux zones rouges, aux travaux de recherche, ainsi qu’à toute tâche assignée, sur différents flancs de bataille pour la vie et parce que Cuba avance.
Cependant, ces temps si vides de séduction, de deux poids, deux mesures, de faux écrans de fumée culturels, entre autres attractions banales, posent des défis aux jeunes, qui sont vierges dans le tourbillon post-moderne du monde, en quête constante de leur identité, raison d’être, et se concentrer comme il se doit sur la réalisation de plans et de projets de vie pour l’avenir immédiat.
Par conséquent, devant la fonction sacrée de les émanciper pour la construction d’une société supérieure, il est urgent que l’UJC, le Parti communiste de Cuba (PCC) et toutes les organisations éducatives, politiques et de masse les guident sur le droit chemin, pour qu’ils sachent décoder correctement les "attrayantes" propositions du monde d’aujourd’hui.
L’amour pour la Patrie, la loyauté au PCC, à Fidel, à Raul, et l’engagement à semer en eux la confiance envers le Gouvernement révolutionnaire et ses dirigeants, sont des valeurs incontournables à inculquer toujours.
De même, leur faire comprendre l’importance et l’objectif crucial des mesures économiques, politiques et sociales qui sont prises précisément maintenant, alors que l’île fait face à un paysage épidémiologique complexe et à la recrudescence du blocus impérialiste yankee, assure l’avenir du processus socialiste, système politique élu souverainement par la majorité.
Aussi difficiles et difficiles que soient les jours à venir, la jeunesse cubaine continuera à défendre le socialisme, la souveraineté de ce ciel, cette terre et le drapeau de l’Estrella Solitaria. (Photo : Archives)