logo Imagen no disponible

Radio Cadena Agramonte emisiora de Camagüey

matière noire, Méditerranée, observatoire sous-marin

La matière noire pourrait avoir frappé la Terre en 2023


En 2023, un immense observatoire sous-marin a détecté un phénomène inhabituel sous la mer Méditerranée, provoquant une grande agitation au sein de la communauté scientifique internationale.

Il s'agit d'une particule d'énergie extrêmement élevée qui a traversé la Terre, laissant une signal lumineux et inexplicable.

L'événement, enregistré par le télescope KM3NeT, a défié les explications conventionnelles et oblige les physiciens à reconsidérer certaines de leurs théories les plus fondamentales sur l'univers.

La trace de cette particule, décrite comme un « muon impossible », non seulement a battu des records d'énergie détectée, mais a également montré un comportement qui soulève la possibilité que nous soyons face à une manifestation directe de matière noire.

Une découverte de cette ampleur ne serait pas seulement révolutionnaire dans le domaine de la physique, mais pourrait également constituer la première preuve tangible de l'un des plus grands mystères de l'univers moderne.

Dans les profondeurs de la mer Méditerranée, un télescope sous-marin nommé KM3NeT observe des particules subatomiques qui traversent la Terre sans être détectées à l'œil nu.

Contrairement aux télescopes traditionnels qui scrutent le ciel, ce détecteur est orienté vers l'intérieur de la planète, à la recherche de particules qui traversent la Terre depuis l'autre côté du monde.

C'est l'un des capteurs de KM3NeT qui, en 2023, a capté ce signal de lumière extrêmement intense, associé au passage d'une particule avec une énergie estimée à 220 peta-électronvolts (PeV).

Il s'agit d'une quantité d'énergie supérieure à celle que peut générer n'importe quel accélérateur de particules humain, y compris le célèbre Grand Collisionneur de Hadrons (LHC).

Ce flash a dépassé de 35 fois la luminosité de tout autre événement similaire capté par l'observatoire. Les chercheurs, initialement enthousiasmés, ont tenté de le classer parmi les phénomènes connus, mais se sont rapidement rendu compte qu'il ne correspondait à aucune particule conventionnelle.

Ils ont envisagé des hypothèses qui vont au-delà du modèle standard de la physique des particules : l'une d'elles propose que le signal capté pourrait avoir été causé par une particule de matière noire, quelque chose jamais observé directement auparavant.

La matière noire est l'un des grands mystères de la physique actuelle. Bien qu'elle ne puisse être ni vue ni touchée, sa présence est déduite des effets gravitationnels qu'elle exerce sur la matière visible dans l'univers. On estime qu'elle représente environ 85 % de la masse totale du cosmos, mais jusqu'à présent, il n'a pas été possible d'identifier de quoi elle est exactement composée.

Selon une théorie proposée dans un article récent publié sur arXiv, ce que KM3NeT aurait détecté ne serait pas un simple neutrino, mais une particule de matière noire qui, en entrant en collision avec l'intérieur rocheux de la Terre, aurait généré une brève transformation de sa structure.

Cette altération aurait produit une version plus lourde de la particule, qui se serait rapidement désintégrée en deux muons presque parfaitement alignés, générant un éclat si intense que seul KM3NeT a pu le détecter.

L'origine céleste de cette particule a également été l'objet de débats. Selon l'analyse de sa trajectoire, les scientifiques pensent qu'elle provient d'une région de l'espace où se trouvent plusieurs blazars, qui sont des galaxies avec des noyaux actifs et des trous noirs supermassifs en leur centre.

Ces objets émettent des jets de particules à des vitesses proches de celle de la lumière, et certains de ces faisceaux pourraient avoir voyagé pendant des milliards d'années avant d'atteindre la Terre. (Texte et photo: Cubasí)


Dans cette catégorie

Comentarios


Tu dirección de correo no será publicada *